La collaboration avec l’un des clubs de danse sociale de Moscou a débuté en mars 2019, lorsque j’ai commencé à travailler de manière indépendante, et elle en est maintenant à sa troisième année.
Les activités du club sont fondées sur l’initiative privée, sans aucun parrainage (à l’exception de deux crowdfundings en temps de crise), c’est-à-dire qu’il s’agit d’une entreprise à vocation humanitaire. Auprès du club, il y a un magasin de chaussures de danse; des fêtes, des séminaires et des tournois y sont organisés.
Le directeur s’occupe de son activité préférée, à savoir enseigner la danse à tout le monde, tout en étant obligé de cultiver en lui les capacités d’un « gestionnaire efficace », car il est le seul responsable du paiement des factures et de la conformité aux diverses exigences extérieures (dès les autorités fiscales aux pompiers).
Nous nous connaissons depuis longtemps, et cela aide à la coopération d’affaires. On discute en ami des problèmes actuels et ça permet de comprendre mieux les nécessités spécifiques. Pas à pas, grâce à ces conversations régulières, nous avons résolu un certain nombre de problèmes, comme par exemple :
1) Comment calculer correctement la majoration du magasin et définir une majoration optimale ;
2) Des outils simples pour les tâches de routine – J’ai partiellement reflété ces conversations dans l’article « L’homme a besoin de l’homme…et d’un vrais service clientèle » ;
3) Révision de la comptabilité, rédaction de la liste complète des revenues et des charges pour passer à une comptabilité automatisée;
4) Définition de la mission de l’organisation; c’était important pour redémarrer les relations entre l’administration du club et le personnel rémunéré après la quarantaine – on peut trouver quelque chose sur ce sujet dans l’article « Les attentes actualisées du clients placent la barre plus haut » ;
5) Travail permanent avec les commentaires et les opinions des invités du club et des élèves de l’école.
On n’arrête pas là.
